Soirée d'ouverture au cinéma La lucarne/MJC de Créteil Montmesly
pot d'accueil africain bissap/gingembre citron.
Fenêtre sur le cinéma africain :
quatres jours pour la découverte de films,
avec des rencontres et des animations
ouvertes à toutes et tous.
Pour que le cinéma africain subsaharien
trouve toute sa place en Île de France
Ce Festival invite les Franciliens et leur donne à voir,
un aperçu du patrimoine cinématographique africain,
mal connu et trop souvent ignoré. La sélection des films projetés a été faite à partir d’œuvre de cinéastes d’Afrique subsaharienne, reconnus ou primés par
la critique internationale. Dédié à la promotion
du cinéma, ce rendez- vous l’est aussi à la francophonie
et à la diversité culturelle.
Organisé grâce au soutien de la Région Île de France,
cet événement est coordonné par la Fédération régionale des MJC d’Île-de-France, qui mobilise pour l’occasion son réseau d’éducation populaire,
des associations et des collectivités locales,
sur le territoire francilien. Il s’appuie aussi largement
sur un partenariat avec le FESPACO, le plus important festival africain de cinéma.
Cette initiative bénéficie également du soutien
de CulturesFrance, du Ministère français des Affaires étrangères et européennes, de l’Ambassade du Burkina
Faso à Paris ; auxquels se sont associés Radio France International, l’Organisation internationale
de la Francophonie et Africultures.
PARTENAIRES
PROGRAMME
77
LOGNES
Jeudi 10
9H00 BUUD YAM
10H30 Débat : La solidarité ici et là bas
14H PIECES D’IDENTITE
15H30 Débat : Retour sur la colonisation et son incidence
dans les relations entre les peuples.
Intervenants : Aïda DEME et Stelio FARANDJIS
Avec l’association du Blé actif de Lognes et les ateliers
sociolinguistique
Dégustation de beignets africains avec le rituel des thés
Vendredi 11
9H PIECES D’IDENTITE
10H30 Débat : « Si je diffère de toi, loin de te léser
je t’enrichis »(Saint Exupéry).
Intérêt et reconnaissance de la richesse des différentes cultures.
14H BUUD YAM
15H30 Débat : Cinéma africain, cinéma européen, quelles, ressemblances, quelles différences ?. Et surtout, quel plaisir !
Dégustation de beignets africains avec le rituel des thés
NOISIEL
SAMEDI 12
17H DJELI
18H30 Débat : Les traditions en Côte d’Ivoire
Intervenant : Pape Bakari CISSOKO avec Annick DODOTTE
Spécialités à déguster
DIMANCHE 13
15h BAL POUSSIERE
18H Débat : La question de la polygamie
Intervenants : Mr BÂ
78
MANTES LA JOLIE
Jeudi 10
9h30 – 14h
FJT (Foyer de Jeunes Travailleurs)
20h30
BUUD YAM
Vendredi 11
9H30-14H
MUNA MOTO
Samedi 12
14H BUUD YAM
19H30 KODOU
21H repas africain accompagné d’un griot de l’association SDL
Dimanche 13
14H HEREMAKONO
16H repas africain.
17H concert : Les tambours de SUKKUMBA .
91
EVRY
Jeudi 10
9H BUUD YAM
14H PIECES D'IDENTITE
15H45 Débat : La notion d’identité dans le cinéma
Intervenants : Pape Bakari CISSOKO
19hH PIECES D'IDENTITE
20H30 Collation africaine
vendredi 11
14H BUUD YAM
15H45 Débat : L’Afrique et le cinéma.
17H Conteur
18H30 Collation africaine
20H30 LE CAMP DE THIAROYE
Avec le Maison du Monde d'Evry,
22H Débat : sur l’histoire de la résistance africaine;
Intervenant : Abdelati LAOUFI,
Avec la Maison du Monde d'Evry.
Samedi 12
14H HEREMAKONO
15H45 Débat : Cinéma et migration, comment contribuer
au développement local et freiner la fuite de la jeunesse ?
Intervenant : Cheik Tidiane DIOP
19H GUIMBA
20H45 Débat : avec l’association Les Amis de Kayes (Mali)
Soirée de Gala
22H Repas
22H30 Concert groupe LOXO (musique de l’ouest africain) & bal
En partenariat avec les associations AJAS.
Dimanche 13
14H30 TILAÏ
16H Débat : L’Afrique et le cinéma,
une dynamique à découvrir.
Intervenante : Maryse MOREAU
92
SCEAUX
Jeudi 10
18H30 Apéritif musical africain en présence de Mamoudou CISSOKO et de ses invités
20H TILAÏ
21H30 Débat et échanges sur le film et le cinéma africain
Intervenant : Michel AMARGER
Vendredi 11
10H BUUD YAM
14H GUIMBA
18h Apéritif musical africain en présence Mamoudou CISSOKO
et de ses invités
20H BAL POUSSIERE
21H30 Débat et échanges sur le film et le cinéma africain
Intervenant : Michel AMARGER
SAINT CLOUD
Samedi 12
16H30 BUUD YAM
19H30 Buffet camerounais & concert de Mamoudou CISSOKO et invités
21H GUIMBA
Le dimanche 13
cinéma Les 3 Pierrots
18H TILAÏ
19H30 Débat : présentation du cinéma africain à travers
le film projeté.
Intervenante : Caroline POCHON
93
MONTREUIL
Le court métrage, La parabole du semeur, sera projeté avant chaque séance.
Jeudi 10
10H PIECES D’IDENTITE
14H30 BAL POUSSIERE
Vendredi 11
10H BUUD YAM (scolaire ouvert au public)
14H30 PIECES D’IDENTITE (scolaire ouvert au public)
19H MUNA MOTO
Samedi 12
15H DJÉLI
17H TILAÏ
19H GUIMBA
20H30 Débat : L’image du Mali d’hier et d’aujourd’hui
Dimanche 13
15H HEREMAKONO
17H KODOU
19H VISAGES DE FEMMES
21H Débats : Représentation de la femme dans l’imagerie africaine.
Intervenante : Maryse MOREAU
94
CRETEIL
Jeudi 10
9H15 PIECES D'IDENTITES
20H30 BAL POUSSIERE
Débat autour du film et présentation du programme
du Festival
En présence de Maryse MOREAU et de Catherine DESPINOY
Vendredi 11
9H BUUD YAM (scolaire ouvert au public)
14H30 PIECES D'IDENTITES
18H30 TILAI
20H30 DJELI
22H Débats : Eclairage sur les relations sociales et familiales représentées dans le film
Intervenant : Pape Bakary CISSOKO
Et autour des pratiques cinématographiques des femmes africaines
Intervenante : Jackie BUET
Samedi 12
14H BAL POUSSIERE
15H45 KODOU
17H30 VISAGES DE FEMMES
précédé de POUR LA NUIT
Rencontre et animation de débat, avec Isabelle BONI-CLAVERIE, réalisatrice du court-métrage
DEBAT : Images transgressives dans le cinéma ivoirien
Collation africaine
21H MUNA MOTO
En présence de Andrée DAVANTURE, chef monteuse du film et Khaled Ghorbal, cinéaste
Dimanche 13
14h BUUD YAM
Echanges sur le film africain et conférence illustrée par des extraits
de films sur les personnages de conte dans le cinéma africain
Intervenante : Marie DIAGNE
16H30 Goûter africain
17H PIECES D'IDENTITE
Précédé d'un petit concert de djembé et dununs (percussions) par Thierry DUPRAT et ses élèves / Rythmes de l'ethnie Malinkes hérités de l'Empire Mandingue (Guinée et Mali)
19H DJELI
21H VISAGES DE FEMMES
95
SARCELLES
Salle des fêtes Jacques-Berrier
Exposition : Peintres Gongolais (association Warcom- Mr A. WASSA)
Jeudi 10
A la MJC
14H PIECES D'IDENTITE
20H TILAI
21H30 Repas africain
Vendredi 10
Salle des fêtes Jacques-Berrier
14H TILAÏ
19H griot-chanteur SHAKEMBO
20H DJELI
Samedi 12
Salle des fêtes Jacques-Berrier
14H GUIMBA
17H MUNA MOTO
19H chanteur SHAKEMBO
20H HEREMAKONO
Dimanche 13
Salle des fêtes Jacques-Berrier
15H BUUD YAM
17H HEREMAKONO
20H PIECES D'IDENTITE
PERSONNALITÉS
INVITÉS
Michel AMARGER
Il réalise des films documentaires et de recherche et mène en parallèle une activité de journaliste pour Radio France Internationale. Il couvre l’actualité cinéma, réalise des sujets sur l’audiovisuel africain pour les services de la Coopération dont RFI 3. Il devient journaliste spécialisé cinéma-audiovisuel, responsable de magazines cultures et collabore à diverses émissions. Pour l’agence de presse écrite Médias France Intercontinents, il coordonne informations et dossiers thématiques sur l’audiovisuel et développe un travail de critique cinéma dans des revues spécialisées. Il est correspondant de la Revue Écrans d’Afrique, rédacteur du Bulletin Écrans Nord-Sud, de la Lettre d’information Africa Cinémas. Concepteur et rédacteurs d’articles et de dossiers pour diverses publications, il collabore également pour le réseau informatique Infonie, l’encyclopédie sur CD, Cinemascope 2000. Auteur, il publie deux ouvrages sur les cinéastes Djibril Diop Mambety et Cilia Sawadogo. Engagé, il participe à la gestion d’associations de promotion du 7 ème art, dont Racines Noires et Écrans Nord-Sud. Il co fonde l’Association Française d’Échanges et de Promotion du cinéma expérimental et différent en France et dans le monde arabe. Il crée Afrimages en 2004, et anime le réseau de critiques Africiné, dont il est l’un des initiateurs. Il développe des magazines audiovisuels sur les nouveaux médias.
Isabelle BONI-CLAVERIE
Cinéaste, née en Côte d’Ivoire au sein d’une famille franco-ivoirienne, elle a réalisé plusieurs cours métrages primés dans les festivals internationaux. Scénariste, diplômée de la Fémis, elle a réalisé deux courts métrages internationalement primés : "Le Génie d’Abou" (1998) et "Pour la Nuit" (2004), ainsi que des documentaires : "La Coiffeuse de la rue Pétion" (1999) ; "L’Image, le vent et Gary Cooper" (2001) ; "Documenta Opening Night" (2002, Arte). En tant que scénariste, Isabelle Boni-Claverie collabore à l'écriture de séries télévisées populaires comme Plus Belle La Vie (France 3) et Seconde Chance (TF1). Elle a également travaillé avec des réalisateurs tels que Haroun Mahamat Saleh (Sexe, Gombo et Beurre Salé), Jean-Marie Téno ou Idrissou Mora Kpai (Arlit, deuxième Paris). Auteure d’un roman à l’âge de 17 ans, « La Grande Dévoreuse » publié par les Editions Le Monde / La Découverte et réédité en 2000 par les Nouvelles Editions Ivoiriennes (NEI), Isabelle Boni-Claverie écrit ensuite dans la presse. De 1993 à 2005, elle collabore à Planète Jeunes, la Revue Noire et Afrique Magazine.
Jackie BUET
Directrice artistique et gestionnaire du Festival International de Films de Femmes de Créteil et du Val-de-Marne. Recherchiste en audiovisuel et multi-média. Née à Saint Malo, de nationalité française. Après des études secondaires et universitaires en pédagogie, histoire de l’art et psychologie à l’Université de Caen, elle se consacre à l’enseignement dans les collèges pendant 10 ans. En 1976, elle quitte l’enseignement pour se consacrer à des projets artistiques. Elle entreprend de découvrir d’autres cultures, d’autres sociétés et pour cela voyage et visite plusieurs pays d’Amérique Latine en solitaire. De retour à Paris en 1978, elle s’inscrit à l’Université de Vincennes puis entreprend une formation de manager de projets culturels dans le cadre du Ministère de la Culture (l’ATAC-ANFIAC ). Elle fonde, avec Elisabeth Tréhard (co-fondatrice et co-directrice de 1979 à 1989), le Festival International de Films de Femmes en 1979. Conférencière sur l’histoire du cinéma dans le cadre universitaire, mène une étude sur la représentation de la violence au cinéma. Elle mène depuis toujours une recherche sur les pionnières et travaille à leur valorisation. Responsable de l’organisation et de la gestion de la Tournée International du Festival de Films de Femmes de Créteil, elle favorise la diffusion des films découverts à Créteil dans des pays partenaires tels que l’Allemagne, le Barhein, la Belgique, la Suède, le Canada, la Chine, l’Espagne, la Grande-Bretagne, Israël, l’Italie, le Maroc, l’Egypte, la Tunisie, la Turquie, la Nouvelle Calédonie, mais aussi les Antilles françaises, la Réunion....
Elle a conçu et réalisé l’opération “ Graine de Cinéphage ” : programme de films spécialement choisis pour le public des adolescents et programmés en vue de leur faciliter l’accès à un grand festival de cinéma sur le temps scolaire.
En parallèle à ce projet, elle soutient la programmation et la formation audiovisuelle en direction des lycéens et collégiens de l’Académie Créteil-Versailles (organisation d’ateliers thématiques, par exemple sur les nouvelles technologies de l’image, ouverture aux métiers du cinéma à travers des visites à l’INA, à l’Ecole Louis Lumière ou à la Fémis, participation à l’opération Collège au cinéma).
Le 32ème Festival International de Films de Femmes de Créteil aura lieu du 2 au 11 avril 2010.
Auteur, elle est déjà à l’initiative de trois publications:
- 1999: elle a dirigé l’édition d’un ouvrage anniversaire sur les vingt ans du festival , “ Films de Femmes: Six générations de réalisatrices ” édité aux éditions Alternatives.
- 1995: L’épopée des femmes dans le 7ème Art en Europe, numéro spécial de la Revue Femmes d’Europe pour le centenaire du cinéma.
- 1993: 20 ans de théories féministes sur le cinéma avec Ginette Vincendeau et Bérénice Reynaud aux éditions Cinémaction.
Pape Bakary CISSOKO
Sénégalais, il vit en France depuis Septembre 1990. Formé à la Philosophie, sa spécialité, il étudie la psychologie et la sociologie à l’Université de Franche-Comté (Besançon).Il est devenu philosophe, conférencier et formateur ( cultures africaines, Interculturalité/Parentalité), Animateur de café-Philo. Il est formateur en Centre Médico psycho Social pour Migrants et Réfugiés et enseignant à l’IUFM et à l’Université sur « L’étrangeté de l’autre ou la philosophie interculturelle ». Son domaine de recherche est l’esthétique négro-africaine (les arts premiers) et par les outils de la philosophique, il a la volonté de montrer ce qu’est l’art traditionnel africain non reconnu comme œuvre par les cultures occidentales. Il est membre de la société savante “La société des Africanistes” basée au Musée de l’homme à Paris. Il membre de “La Maison de la Négritude et des Droits de l’Homme” de Champagney en Haute Saône en France. Cette maison est le prototype de la Maison des esclaves de l’Ile historique de Gorée au Sénégal.
Aïda DEME
Militante de l’éducation populaire, elle très active notamment sur la ville de Lognes, ou elle occupe le poste de Vice Présidente de la Maison des associations et de la vie associative de Lognes. Présidente de l’association but humanitaire « Karim-Faye Solidarité Sénégal », basée à Lognes, elle travaille au développement d’actions dans la banlieue de Dakar au Sénégal. Elle soutien et accompagne la scolarité des plus jeunes dans les écoles de la rue, afin de leur permettre de rentrer en classe de 6ème dans le circuit de l’éducation Nationale. Depuis cette année, elle s’est aussi engagée dans la construction d’une bibliothèque.
Cheikh Tidiane DIOP,
Sociologue et économiste, Cheikh Tidiane DIOP est né au Sénégal, à Tivaouane, ville capitale de la confrérie Al Tijanya et ancien fief de l’administration coloniale française. Après son passage à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, il décide de partir pour la France afin de poursuivre des études supérieures en sociologie et en économie, successivement à l’Université de Franche-Comté et de Bourgogne. Fervent défenseur d’une Afrique autonome et unifiée, son premier livre en 2006 : “L’Afrique en attente”(L’Harmattan),est un essai d’économie politique. En juillet 2009, vient de paraître son roman, “les traverseurs des mers”, qui aborde les drames migratoires à travers des histoires de vie croisées de plusieurs personnages pris dans
l’étau des injustices qui structurent les rapports entre le Nord et le Sud.”
Stelio FARANDJIS
Universitaire français (thèse sur Condorcet), né le 16 avril 1937. En 1983, il est nommé par François Mitterrand secrétaire général du Haut Conseil de la Francophonie, qui réunit, sous l’autorité du Président de la République Française (vice-président Léopold Sédar Senghor) “des personnalités françaises et étrangères autour d’une politique internationale de la langue française”. Reconduit en 1995 dans cette fonction par Jacques Chirac, il y demeure jusqu’en 2001. Cest l’un des artisans de la montée en puissance de l’idée francophone et du dialogue qui s’est noué avec d’autres grands ensembles linguistiques : l’Arabophonie, l’Hispanophonie, la Lusophonie. Il crée dès 1983 lors de sa rencontre officielle avec le ministre de la Culture algérien M. Mezziane le terme d’Arabofrancophonie qui désigne “la situation qui dépasse la simple coexistence et implique un dialogue entre les deux cultures : le monde arabe et le monde francophone” (Dictionnaire de la Francophonie). Auteur du rapport “L’éducation à la francophonie” (dans l’enseignement primaire, secondaire et supérieur) remis au ministre de la Jeunesse, de l’Éducation nationale et de la Recherche Luc Ferry en avril 2003. En 2004, il devient inspecteur général honoraire de l’Éducation Nationale et membre du Comité Scientifique du Mastère spécialisé Management des entreprises culturelles de l’ESC Dijon. Aujourd’hui retraité, il propose notamment des lectures de contes dans les écoles de la ville de Lognes. Intéressé par le cinéma africain francophone, son parcours lui a permis de côtoyer de grands cinéastes tel que Souleymane Cissé ou encore Youssef Chahine.
Khaled GHORBAL,
Réalisateur
Venu du théâtre, Khaled Ghorbal, cinéaste franco-tunisien a d’abord suivi une formation d’acteur avant de diriger une troupe d’art dramatique dans son pays d’origine, la Tunisie. De retour en France, il s’occupe pendant dix ans de salles de cinéma d’Arts et d’Essai à La Courneuve et à Stains, en banlieue Parisienne. Puis il fut cofondateur et coordinateur national du dispositif Ecole et cinéma, les enfants du deuxième siècle initié par le CNC (Centre National de la Cinématographie) et l’éducation nationale. Son premier court-métrage remporte un franc succès, confirmé par son premier long-métrage Fatma qui remporte de nombreux prix aussi bien en France qu’au niveau international. Il réalise son deuxième long-métrage Un Si Beau Voyage avec Farid Chopel. Grâce à sa formation théâtrale et à ses activités cinématographiques, il possède une sensibilité et un point de vue aiguisé sur son pays d’origine, La Tunisie, ainsi que sur son pays d’accueil, la France.
Réalisations
Un Si beau Voyage (long-métrage – 2009)
Production : Yoko films, BVNG, Les Films Bleus, Diffusion : Les Accacias
Fatma (long-métrage – 2000)
Production : Amilcar Films, Mandala Productions, Diffusion : MK2 diffusion
Prix art et essai, Quinzaine des réalisateurs, Festival de Cannes 2001
Prix de l’espoir, Festival international de Rabat 2001
Prix du meilleur réalisateur, Festival international du Kérala 2002
Prix de la meilleure interprétation féminine et prix du meilleur son, Festival FESPACO de Ouagadougou 2003
Clap d’or de la jeunesse, Festival de Paris 2003
Zaafrane (documentaire, en montage – 2003)
El Mokhtar (L’ELU) (court-métrage 35 mm – 1996)
Sélection officielle Festival de Venise Septembre 1996
Prix Telcipro et mention spéciale du Jury, Festival d’Amiens 19996
Mention spéciale du Jury, Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand 1997
Prix du meilleur court-métrage, Festival du film méditerranéen de Bastia 1997
Prix du public, les rencontres Meusiennes du court-métrage de Verdun 1997
Prix de la qualité, centre national de la cinématographie 1997
Abdelati LAOUFI,
Sociologue de formation, intervient en tant que réalisateur dans les quartiers populaires de l’Essonne et du Val de marne pour “récupérer” les mémoires oubliées par l’histoire officielle, dont les habitants sont porteurs. Ces mémoires vivantes sur des questions essentielles qui permettent de mieux comprendre le présent et envisager le futur. Accompagné par Génération 2010, l’association gestionnaire, une équipe de tournage (Cascade Audiovisuel), il recueille la parole de “Ces Gens qui Font la Ville “ . Cette parole est mise en beauté parce qu’elle alimente des débats avec d’autres témoins dans des ateliers où se croisent Histoire, Philosophie, Poésie, Rap ou Slam. Neuf documentaires sociaux sont nés de cette expérience, rendant hommage à la mémoire plurielle : Tirailleurs, Mémoires Citoyennes, Discriminations, Transmission Etc. Actuellement Abdelati LAOUFI filme, avec le concours des habitants du Val de Bièvre ( Val de Marne ), “Marseillaise et Sifflets dans le Stade”
Maryse MOREAU
Après une licence en gestion de personnel, elle travaille 15 ans à l’U.G.C. Elle rejoint le laboratoire TELCIPRO (qui deviendra EX MACHINA), en qualité de responsable juridique. Elle y crée le département Administration des Ventes et Juridique, dont elle deviendra la Directrice. A partir de 1991 elle participe à son premier Fespaco, et met en place des actions commerciales sur le cinéma d’Afrique noire et du Maghreb, en créant une politique de développement commercial, avec création de stages de laboratoire pour les techniciens. Elle crée une bourse d’aide aux réalisateurs (pour longs et courts) remise lors de Festivals de cinéma, Fespaco, Festival de Milan (COE), Festival international d’Amiens et de Carthage. Elle a participé à de nombreuses reprises au Fespaco et notamment en qualité de membre du Jury international des Courts métrages en 2003. En ayant rejoint TITRA FILM en 2002, elle continue à soutenir la diffusion internationale des oeuvres du continent africain grâce à un sous-titrage de qualité et participe à de nombreuses manifestations sur le cinéma africain.
Caroline POCHON,
Scénariste, documentariste et critique cinématographique, diplômée de la FEMIS (1997). Passionnée d’écriture : elle a co-écrit le scénario « Le saï-saï » en 2000, et a celui de « Zanzibar Hôtel » de François Margolin. Elle réalise en 2004 « La guérison de monsieur Kouyaté » et vient de terminer un documentaire pour ARTE. Rédactrice au webzine des cinémas d'Afrique "Clap noir"
REMERCIEMENTS
Maryse MOREAU (cf intervenants), Catherine RUELLE (journaliste à RFI, programmatrice du ciné-Club africain au Musée Dapper), Olivier BARLET (auteur, journaliste et directeur des publications d'Africultures), Corinne Gorse/Kriss, pour leurs précieux conseils de guides bienveillants.
Camille KHAIRALLAH
directrice de la MJC Lognes et du Centre Simone Signoret
Laure DI FRANQUO
directrice adjointe de la MJC de Lognes et du Centre Simone Signoret
Carlos FRANQUI
directeur de la Maison pour tous de Noisiel/Le Luzard
Marie FERRON
coordinatrice de projet de la Maison pour tous de Noisiel/Le Luzard
Joël LECRONIER
directeur du CAC Georges Brassens à Mantes la Jolie
Eric GUILLAMAUD
directeur adjoint du CAC Georges Brassens à Mantes la Jolie
Patrick HOCHEDE
directeur du Foyer de Jeunes Travailleurs de Mantes la Jolie
Pierre KUENY
directeur du ECM Le Chaplin à Mantes la Jolie - Val Fourré
Paulo LOUSAO
coordinateur-programmateur audiovisuel du ECM Le Chaplin au Val Fourré
Charles BIRCHLER
directeur de la MJC d’Evry
Jean-Michel SWYMSKI
coordinateur Culture de la MJC d’Evry
Emmanuel BROSSARD
directeur de la MJC de Saint Cloud
Vivien ROLAND
coordinateur de projet de la MJC de Saint Cloud
Pierre JACQUEMONT
directeur du cinéma Les 3 Pierrots de Saint Cloud
Emmanuelle AUREGAN-DIAKHATE
directrice adjointe de la MJC de Sceaux
Thérèse BERARD
directrice de l’Espace Comme Vous Emoi Montreuil
Frédéric BENAZA
initiateur et programmateur cinéma de l’Espace Comme Vous Emoi Montreuil
Jérôme HAULBERT
animateur pluridisciplinaire de l’Espace Comme Vous Emoi Montreuil
Corinne TURPIN
animatrice-coordinatrice du cinéma La Lucarne/MJC Montmesly de Créteil
Nadeen DELARUE
directrice de la MJC de Sarcelles
Ainsi que les Présidentes et Présidents des associations.
Catherine Despinoy, coordinatrice générale du Festival
Identité visuelle du Festival : AileDesign / www.ailedesign.fr
Affiche : Sarah Cassenti
Blog / illustrations : Alexandre Morzy
ACTION...
Chaque projection (support DVD) sera suivi d’échanges sur les œuvres cinématographiques
VF version française
VOST version originale
sous-titrée
MUNA MOTO de Jean-Pierre Dikongué-Pipa, Cameroun, 1976 – 1H29 VOST
Ngando et Ndomé s’aiment. Ngando demande Ndomé en mariage mais la famille de Ndomé lui rappelle qu’il doit s’acquitter de la dot. Orphelin, il fait appel à son oncle pour l’aider à remplir cette obligation traditionnelle. Mais l’oncle, qui ne parvient pas à être père malgré ses trois épouses, décide d’épouser la jeune fille, sans savoir que celle-ci attend un enfant de Ngando.
Étalon de Yennenga, FESPACO 1976 ; Tanit d’argent, Journées cinématographiques de Carthage 1976 ; Grand Prix Georges Sadoul 1975 ; 1er Prix Organisation Catholique Internationale du Cinéma, Ouagadougou 1976. Grand Prix Festival International du Film de l’Ensemble Francophone, Genève 1975 ; Sélection Officielle, Biennale d’Arte Cinematografica, Venise 1975.
DJELI de Fadika Kramo-Lanciné, Cote d’Ivoire, 1981 – 1H32 VOST
Deux étudiants ivoiriens, Fanta et Karamoko, s’aiment et nourrissent des projets de mariage. Nés dans le même village, leurs parents respectifs se connaissent bien. Mais Karamoko Kouyaté, fils de griot, ne peut épouser Fanta, fille d’un descendant direct des illustres familles du Mandingue. Malgré un environnement en pleine mutation, les deux familles s’opposent au mariage de leurs enfants pour maintenir la tradition.
Étalon de Yennenga, FESPACO 1981.
TILAÏ de Idrissa Ouédraogo, Burkina, 1991 - 1h 21min VOST
Saga revient au village après deux ans d’absence. Beaucoup de choses ont changé. Sa fiancée Nogma est devenue la deuxième femme de son père. Mais Saga et Nogma s’aiment toujours. Transgressant les lois, les deux jeunes gens ont une aventure. Pour le village c’est un inceste et Saga doit mourir. Kougri, son propre frère, est désigné pour le tuer mais il le laisse s’échapper et Saga se réfugie chez une tante, rejoint par Nogma. Ils vivent heureux jusqu’au jour où Saga apprend que sa mère est mourante. Il décide alors de retourner au village.
Grand Prix, Festival de Cannes 1990 ; Étalon de Yennenga et Prix de la meilleure musique, FESPACO 1991.
GUIMBA de Cheikh Oumar Sissoko, Mali, 1995 - 1H33 VOST
Sitakili, une ville du Sahel, est sous la coupe de Guimba Dunbaya et de son fils Janguiné. Kani Coulibaly est fiancée à Janguiné depuis sa naissance. Devenue une belle jeune femme, elle est très courtisée mais aucun prétendant n’ose se déclarer tant la terreur que fait régner Guimba est grande. Au cours d’une visite de courtoisie à Kani, Janguiné s’éprend de Meya, la mère de sa promise et veut l’épouser. Pour satisfaire le caprice de son fils, Guimba expulse Mambi, l’époux de Meya. Celui-ci se réfugie alors dans un village de chasseurs et organise la révolte contre le tyran.
Étalon de Yennenga et Prix des meilleurs costumes et décors, FESPACO 1995.
BUUD YAM de Gaston Kaboré, Burkina, 1997 – 1H37 VOST
Trouvé en brousse à demi-mort, quand il était enfant, Wend Kuuni a été adopté par une famille. Bien qu’il ait été accepté par la communauté du village, il continue à être traité comme un étranger mais la vie en famille est sereine, jusqu’au jour où Poghnéré, sa sœur adoptive tombe gravement malade. Wend Kuuni part à la recherche d’un guérisseur légendaire pour sauver sa sœur de la mort. Il quitte alors son village d’adoption et commence un parcours initiatique qui le conduira vers ses propres racines.
Étalon de Yennenga, FESPACO 1997
PIECES D’IDENTITE de Mweze Dieudonné Ngangura, République Démocratique Du Gongo, 1999- 1H33 VF
Mani Kongo, vieux roi d’une province congolaise, décide de partir à la recherche de sa fille, Mwana, qu’il a envoyée étudier en Belgique à l’âge de huit ans et dont il est sans nouvelles depuis des années. Le roi, qui ne veut rien abandonner de ses traditions, va croiser des personnages comme Chaka-Jo, jeune métis belgo-congolais et faux chauffeur de taxi sans carte de séjour, Viva Wa Viva, un sapeur qui lui extorque son argent, ou encore Noubia, chanteuse illuminée et solitaire....
Mani Kongo retourne chez lui avec Mwana et Chaka-Jo, mais le retour en Afrique permettra-t-il à ces personnages aux identités « en pièces » de se réconcilier avec eux-mêmes ?
Étalon de Yennenga et Prix de la meilleure interprétation féminine, FESPACO 1999
HEREMAKONO.En attendant le bonheur » de Abderrahmane Sissako, Mauritanie, 2003 – 1H35 VOST
À Nouadhibou, village de pêcheurs sur la côte mauritanienne, Abdallah, un jeune malien de 17 ans, attend auprès de sa mère son départ vers l’Europe. Dans ce lieu d’exil et de fragiles espoirs, le jeune homme, qui ne comprend pas la langue, essaie de déchiffrer l’univers qui l’entoure : Nana, une sensuelle jeune femme, Makan, qui rêve de l’Europe, Maata, un ancien pêcheur reconverti en électricien et son disciple Khatra, qui va aider Abdallah à sortir de son isolement en lui enseignant le dialecte local.
Les destins se croisent et se décroisent au fil des jours, les regards fixés sur l’horizon en attendant un hypothétique bonheur.
Prix de la critique internationale, Cannes 2002 (Un certain regard) ; Étalon de Yennenga et Prix du meilleur décor, FESPACO 2003.
BAL POUSSIERE de Henri Duparc, Côte d’Ivoire, 1988 Durée - 1h 31 VF
Binta, une jeune fille délurée, quitte la maison de son oncle où elle est considérée comme bonne à tout faire. En route, elle fait la connaissance d’un homme d’une cinquantaine d’années qui s’éprend d’elle et lui propose, sur le champ, le mariage. Demi-Dieu, c’est le surnom du Bonhomme, a déjà cinq femmes ! Binta, venue d’Abidjan, est bien décidée à ne pas se laisser faire ! Demi-Dieu, se nomme lui même ainsi car il est seul maître après Dieu dans son village. Il veut harmoniser chaque jour de la semaine en prenant une sixième femme. Il garde le septième jour pour le repos ou la récompense de la meilleure d’entre elles.
KODOU de Ababacar Samb Makharam, Sénégal, 1971 – 1H29 VOST
Une jeune fille, Kodou, se soumet, un peu par bravade, à une pratique de tatouage. Mais ne voilà-t-il pas qu'au milieu de la cérémonie, et tandis que les matrones l'encouragent de leurs chants, Kodou prend la poudre d'escampette. Offensant ainsi gravement les traditions séculaires du village. La famille de Kodou se sent déconsidérée, ses amies se moquent d'elle. Confinée dans une quasi-quarantaine, Kodou devient folle et s'en prend violemment aux jeunes enfants. Ses parents finissent par l'emmener dans un hôpital psychiatrique dirigé par un médecin européen, sans résultat. Ils décident alors de la soumettre à une séance d'exorcisme traditionnel. Puis on ramène Kodou à la maison. Guérira-t-elle?
VISAGES DE FEMMES de Désiré Ecaré, Côte d’Ivoire, 1984 - 1h 45 VOST – conseillé à partir de 15 ans
Dans un village, une femme trompe son mari jaloux avec le jeune frère de ce dernier. En ville, une femme doit se battre pour obtenir un crédit auprès de banquiers pour ouvrir un restaurant.
A travers le portrait croisé de trois femmes, le cinéaste ivoirien Désiré Écaré propose une lecture politique et érotique de la féminité africaine. Le poids de la tradition et les tentatives pour s'en émanciper sont au cœur de ces Visages de femmes, chant lyrique et vital à la liberté des corps et des esprits.
LE CAMP DE THIAROYE de Ousmane Sembène, Sénégal, 1988, 2h28. VOST
Un épisode sanglant peu glorieux de l'histoire. Au Sénégal en 1944, un bataillon de tirailleurs arrive au camp de transit de Thiaroye. Ils y attendent leur démobilisation et leur pécule. Après s'être battus pour la France, ces anciens combattants n'acceptent plus d'être traités avec inégalité. Les tirailleurs sénégalais se mutinent. L'officier cède mais envoie ses chars contre le camp. L'histoire relèvera vingt-cinq morts et de nombreux blessés.
LA PARABOLE DU SEMEUR de Sidney KOMBO, 2003, 5min VF - pour enfants
Il y a presque un siècle de cela, le désert du Sahara s'étend au-delà de ses frontières, contraignant les villageois à abandonner leurs terres. Mais Wulaba est le village des ancêtres et pour Eloha N'Koua, il n'est pas question d'en partir. Pour convaincre les siens que la vie est toujours dans ses terres, il sème ses trois dernières graines dans l'espoir qu'au moins l'une d'entre elles donne du fruit...
POUR LA NUIT, de Isabelle Boni-Claverie, France-Côte d’Ivoire, 27min VF
Muriel, une jeune femme métisse vient à Marseille pour enterrer sa mère. Elle ne supporte pas la lourde atmosphère familiale et s'enfuit. Elle se retrouve seule dans la nuit, libre, un peu perdue. Dans un bar elle rencontre Sami qui enterre joyeusement sa vie de garçon. Ils partent ensemble. Mais Sami doit se marier le lendemain…Chaque séance sera accompagnée de boissons africaines
Prix / Awards / Festivals Locarno (Suisse) Sélection _ Festival international du film d'Amiens (France) Sélection 3 prix _ Fespaco (OUAGADOUGOU, Burkina faso) Sélection_ Festival de Montréal - vues d'Afrique (MONTREAL, Canada) Sélection_ African New York Film Festival (USA) Sélection _ Panafricana - Rome (Italie) Sélection African Film_ Festival de Milan (Italie) Sélection _Côté Court - Pantin (France) Sélection
LIEUX
77
LOGNES
MJC de Lognes
Lieux de projection :
Centre Simone Signoret
48 bd du segrais,
77185 Lognes
tel : 01 60 05 26 49/
0164629340
RER : Torcy,
puis 7 min. à pied
NOISIEL
Maison pour tous de Noisiel
Le Luzard
34 cours des Roches
77186 Noisiel
tel : 0160170144
RER Noisiel,
puis 7 min. à pied.
78
MANTES LA JOLIE
Trois lieux de projection :
transilien ou train Mantes
La Jolie via Saint Lazard
CAC Georges Brassens
18 rue Gassicourt
tel :0130630330
http://www.cacgeorgesbrassens.com
5min. à pied/
gare SNCF
ECM Le Chaplin
Place Mendès-France
tel. : 01 30 63 78 00
bus C arrêt Mozart
ou Doré/gare SNCF
21, Rue Alsace
tel :01 30 33 20 03
91
EVRY
MJC Evry
place du Général de Gaulle
tel : 01 60 77 33 94
RER D – Gare d'Evry-
Petit Bourg,
puis 10 min. à pied
92
SCEAUX
Animathèque
21 rue des écoles
tel : 01 43 50 05 96
RER Sceaux,
puis 10 min. à pied
SAINT CLOUD
Ecla/MJC de St Cloud
Deux lieux de projection :
Cadr’à bulle
4, rue du Mont Valérien
tel : 01 47 71 99 53
transilien : St Cloud,
puis 10mn à pied
Cinéma Les 3 Pierrots
6, rue du Mont Valérien
Tél. : 01 46 02 74 44
transilien : St Cloud,
puis 10 mn.à pied
93
MONTREUIL
Espace Comme vous Emoi
5 rue de la Révolution
tel : 01 48 57 05 10
Métro : Robespierre
/ Croix de Chavaux
94
CRETEIL
MJC de Montmesly
Cinéma La Lucarne
100 rue Juliette Savar
Tél : 01 45 13 17 00
Métro : Créteil Préfecture
95
SARCELLES
MJC
Deux lieux de projection :
10 bis av Paul Valéry (entrée allée Rodin)
tel : 01 34 04 02 80
RER Garges Sarcelles -
bus 133 station Lochères
Salle des fêtes Jacques-Berrier
rue Pierre Brossolette
tel : 01 34 19 18 07
Sarcelles-Village
Bus 268 – 289
Andrée DAVANTURE,
Chef monteuse, elle a animé l’association ATRIA (années 80 et 90), relais auprès des professionnels français pour les cinéastes africains, ainsi que la maison de production Atriascop. Elle a fait le montage image d’un grand nombre de films d’Afrique et d’ailleurs et du film MUNA MOTO.
Min Ye de Souleymane Cissé 2008 -
Inland de Tariq Teguia 2008 -
Le Jour Où Dieu Est Parti En Voyage
de Philippe Van Leeuw 2007 -
Un Si Beau Voyage de Khaled Ghorbal 2006 -
Rome Plutôt Que Vous de Tariq Teguia 2006 –
Transe de Teresa Vilaverde - 2006
La Nuit De La Vérité de Fanta Regina Nacro 2005 -
Le Prince de Mohamed Zran 2005
Fatma de Khaled Ghorbal - 2002
Mossane de Safi Faye - 1998
Embrasse-moi de Michèle Rosier - 1989
Annick DODOTTE
représentante de l’association CERAFF (Cercle des amis d’Afrique)
Marie DIAGNE ,
Elle étudie les lettres et le cinéma à l’université, puis découvre le montage de films documentaires et de fiction sur " Classified x " (script du cinéaste noir américain Melvin Van Peebles) et sur " La Petite vendeuse de Soleil " de Djibril Diop Mambeti. Elle est co-auteur de scenarii documentaires. Parallèlement, elle est intervenante professionnelle dans le cadre de manifestations cinématographiques et travaille depuis plusieurs années la question de la transmission du cinéma. Ainsi accompagne-t-elle régulièrement les dispositifs nationaux d’éducation que sont " Ecole, Collège et Lycée au cinéma ", les options de détermination cinéma-audiovisuel des lycées. Elle encadre des ateliers de pratique artistique et mène des formations d’enseignants dans le domaine de l’éducation au cinéma. Elle est l’auteur d’outils pédagogiques. Depuis 2007, elle conçoit des actions d’éducation au cinéma et à l’audiovisuel pour l’association Retour d’image. Elle y découvre la pratique de l’audiodescription et y mène une réflexion sur la relation étroite entre l’accessibilité des oeuvres cinématographiques aux publics handicapés sensoriels et la question de la transmission du cinéma.
Monsieur BÂ
président de l’association Amicale Franco Africaine de Marne La Vallée
BOISSONS
officielles du Festival
JUS AFRICAINS
(adaptation française)
GINGEMBRE CITRON
Pour 1 litre
INGRÉDIENTS
Une racine de gingembre de taille moyenne
Deux ou trois citrons
Sucre selon le goût ( très sucré si version africaine)
1 1/2 litre d’eau
PRÉPARATION
Râper environ 100 gr de racine de gingembre.
Faire bouillir l’eau et y ajouter le gingembre râpé,
puis laisser cuire à feu doux pendant 5 minutes.
Couvrir, laissé infuser une petite heure.
Filtrer la boisson et mettre au frais.
Lorsque c'est bien frais,
ajouter le jus de deux à trois citrons
et sucré, selon le goût.
BISSAP
(jus d’Hibiscus)
Pour 8 personnes
INGREDIENTS
1 poignée d'hibiscus séché (de Bissap ou de Carcadé)
2 à 3 litres d'eau
Sucre, vanillé on non ( très sucré, si version africaine)
PREPARATION
Faire bouillir l’eau et la verser sur le bissap rouge
(possible aussi d'ajouter
du gingembre râpé et/ou de la menthe)
et laisser infuser pendant une heure
Puis laisser refroidir au réfrigérateur.
Filtrer
Sucrer selon votre désir.
Servir frais.
Afrique en photos
http://www.africolor.com